Notre cause ?

Partout à travers le monde, des populations n’ont pas accès à l’eau potable. La cause ? Une sécheresse des sols et des pluies peu abondantes. Mais pour ne rien arranger, depuis plusieurs années des grandes entreprises de boissons se sont mises à profiter du seul accès restant à l’eau potable : les nappes phréatiques. Cette exploitation, au-delà de conséquences environnementales importantes que sont l’asséchement des rivières et l’assèchement des sols, conduit à de gros problèmes sociaux. En effet, la population privée d’eau potable doit se tourner vers de nouvelles alternatives. Certains accumulent et conservent l’eau de pluie risquant une contamination nuisant à la santé. D’autres se tournent vers les sodas, moins chers que l’eau notamment au Mexique et en Inde, conduisant à une obésité importante de la population et notamment chez les jeunes.

En poursuivant nos recherches, nous nous sommes rendu compte que ce problème ne touchait pas uniquement l’étranger. En France, certaines entreprises d’eau minérale exploitent également l’eau des nappes risquant un épuisement futur. C’est pourquoi il est important d’agir. L’eau est une ressource précieuse alors préservons la.

Comment aider ?

Il est facile de dénoncer, il plus important d'agir. C'est pourquoi nous souhaitions vous donner quelques moyens d’action. Ces dernièr sont rangées par ordre de difficulté pour que chacun puisse agir selon ses envies et ses moyens. Nous avons souhaité rester généraliste car, même si la cause de la surexploitation des nappes phréatiques nous tient à cœur, rien n’est à mettre de côté et certaines actions peuvent avoir des conséquences indirectes.


1. S'informer

Pour commencer à agir, la première nécessité est de s’informer. En connaissant la cause à défendre, on trouve plus facilement de nouveaux moyens d’actions. Cela permet également d’accroître notre motivation.Attention, il est indispensable d’utiliser plusieurs sources et de préférence scientifiques pour éviter la désinformation.

2. Réduire sa consommation d’eau

Rien de plus simple. Il suffit de couper l’eau en se brossant les dents, prendre des douches réduites ou arroser ses plantes à l’eau de pluie le soir L’eau est une ressource précieuse et tous n’ont pas la chance d’avoir un accès aussi simplifié alors préservons là du mieux que l’on peut.

3. Boycotter certaines entreprises

Le boycott est un moyen son moyen de contestation envers des entreprises peu soucieuse et de leur impact environnemental, social ou animal. Une entreprise boycottée et possédant une mauvaise réputation aura tendance à s’adapter pour retrouver son marché et améliorer son image.

4. Acheter des vêtements d’occasions

Tout comme le plastique, les vêtements demandent beaucoup d’eau dans leur fabrication. L’idéal est donc de ne pas jeter ses vêtements en état, en les donnant à une association ou en les vendant, et d’en acheter d’occasion dans des friperies ou des sites en ligne.

5. Privilégier la cosmétique végan

La cosmétique végan est non testée sur les animaux. La favoriser, c’est contribuer à l’extinction des expérimentations. Certes l’expérimentation animale est aujourd’hui encore indispensable dans la médecine, mais privilégier la cosmétique non testée sur les animaux encouragera les entreprises à arrêter cette pratique.

6. Réduire son utilisation du plastique

Le plastique, en plus d’être toxique, demande beaucoup d’eau dans sa fabrication. De plus, il est difficilement dégradable. Le limiter c’est protéger sa santé, l’eau et l’environnement. Quelques astuces pourraient être d'acheter en vrac, utiliser une gourde au lieu de bouteilles ou un sac réutilisable pour les courses

7. Limiter les produits ayant été produits avec des pesticides

Les pesticides, au-delà de tuer une partie de l’écosystème, s’engouffrent dans les sols et polluent les nappes. Leur absorption est néfaste pour l’humain. En limitant leur utilisation et en favorisant un mode de culture plus sain on préserve l’environnement et sa santé. Attention, on ne dit pas forcément manger bio. Le bio n’exclut pas tous les pesticides et n’est pas forcément signe d’agriculture responsable.

8. Agir auprès des élus locaux

Choisir des élus ayant dans leur programme des engagements environnementaux permets d’avoir un impact encore plus grand. Certaines associations peuvent également vous conseiller d'envoyer des mails à votre mairie pour appuyer leurs actions.

9. Donner à une association

Faire un don régulier est un bon moyen d’encourager et d’aider une associationdans ses actions. Chaque don compte c’est pourquoi il est nécessaire de donner selon ses moyenset son envie. Les dons réguliers sont également plus utiles. Le niveau supérieur est le don de temps en devenant membre d’une association et en agissant auprès d’elle.

10. Consommer local

En consommant local, on évite la pollution produite par les transports. L’idéalest d’acheter ses fruits et légumes au marché auprès de producteur dont on connait la provenance et le type de production.

Des recommandations d'association ?

We are water

We are water est une association créer en 2010. Leur but est d'intervenir dans des projets liés aux manque d'eau et à son assainissement.
Leur rôle est également de sensibiliser les population pour une meilleure gestion des ressources.

Voir le site
Amigos de la Tierra

La Fédération des Amis de la Terre - France est une association de protection de l’Homme et de l'environnement créer en 1970. Leur approche intègre à la fois des problèmatiques sociales, économiques et environnementales.

Voir le site
Reporterre

Reporterre est un site français d'actualité créer en 2007 qui traite principalement de problématiques environnementales et sociales.
C'est un journal indépendant financé par les dons de ses lecteurs. Il fait parti des médias ayant dénoncé la crise de l'eau au Mexique.

Voir le site